
La marchandisation, c’est le vol
La crise économique actuel a mené à un niveau inédit de dépenses gouvernementales. Ces dépenses supplémentaires, financées par des emprunts publics ou, parfois, en imprimant de l’argent (dont l’effet est semblable à celui des emprunts), secourent les travailleurs en chômage temporaire ou permanent au montant d'environ 80 milliards de dollars et subventionne les revenus des entreprises. Ces actions sont nécessaires pour soutenir l’activité économique essentielle et pour reporter à plus tard l’impact des conséquences économiques de la récession.